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Affichage des articles du janvier, 2021
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Dimanche 31 janvier - Cet après-midi les pluies se calmant je peux aller voir la Seine comme j'aime le faire à chaque crue. Je prends des photos et cette année plutôt que de montrer une eau boueuse et tumultueuse - un beau marron terreux cette année - je choisis celle ci-contre. Un couple sur un banc sur le quai au pied du Quai d'Anjou de l'Ile Saint-Louis. Ils discutent tranquillement. Ils semblent heureux. Des personnages "à la Sempé". Petits, petits dans la grande ville qui devient hostile. Je ne peux pas m'empêcher d'y penser. Là c'est la nature qui est hostile. Pourront-t-ils regagner le Quai...?
Samedi 30 janvier - Je viens de finir "Photos volées" de Dominique Fabre - Prix Eugène-Dabit du roman populiste 2014. Remarquable. Jean 58 ans vient de perdre son emploi du côté de la Chaussée d'Antin. Divorcé, sans enfant, sans nouvelle compagne il se retrouve seul. Pendant des années il fut photographe, il va profiter de ce temps pour ranger ses photos. Le passé remonte ( Elise un amour de jeunesse qu'il voit toujours et "qu'il n'a jamais oublié") pour se mêler au présent (Hélène l'avocate qui va le défendre aux Prud'hommes). Le tout entre Asnières et la gare Saint-Lazare. Du vécu. Du rendu comme disait Céline - et ce n'est pas facile. Du style qui crée cette petite musique à l'oreille. La vie quoi. La vraie, celle des "gens" comme on dit.
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Vendredi 29 janvier - Un article du Monde me donne envie d'aller voir à la galerie David Zwirner le travail de Thomas Ruff - photographe allemand que je découvre - "Tableaux chinois" . Une dizaine d'oeuvres de grandes tailles retravaillées à l'ordinateur à partir de photos de propagande des années 50 présentées dans une belle salle lumineuse de cet hôtel particulier du Haut Marais. Pas facile de choisir une photo. J'aime bien celle du travail collectif - qui pouvait déplacer des montagnes comme la propagande disait. Un grand théme du maoïsme et de la Révolution Culturelle. L'exposition présente trois ou quatre photos du Grand Timonier Mao Zedong -l'homme à la barre de ce grand pays... Celle où il travaille dans son train personnel qu'il aimait me plaît. On le sent apaisé. Il était très beau. Et comme toujours je fais ensuite un tour du quartier en pleine mutation - malheureusement ! Cela veut dire qu'il va perdre son charme. La rénovation des
Jeudi 28 janvier - Le médiatique jardinier en chef du Domaine de Versailles Alain Baraton dans "Mes jardins de Paris" passe en revue tous les parcs, squares, jardins de Paris du plus petit rue de Visconti (80 m²)- que j'aime - aux plus prestigieux. Je m'aperçois que j'en connais un certain nombre pour les avoir fréquentés à un moment ou un autre de ma vie. Beaucoup d'anecdotes historiques sur les statues, les noms de ces espaces et les végétaux qui s'y trouvent pour chacun - alors là je dois admettre mon ignorance... Lecture à mes moments perdus. Les souvenirs reviennent avec les strates qui se sont accumulées avec le temps. Du Vert-Galant de mes vingt ans où des "beatniks" jouaient de la guitare sous le saule aux dernières années où j'aimais m'asseoir dans le jardins de l'Archevëché derrière Notre-Dame [pourrai-je encore le faire une fois ?] sans oublier les promenades du dimanche après-midi aux Buttes-Chaumont. Et le Luxembourg t
Mercredi 27 janvier - Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l'Holocauste. Il faut s'en souvenir. J'y pense souvent avec effroi et j'essaie de comprendre comment tout cela fut possible.
Mardi 26 janvier - Je m'occupe comme je peux. J'attaque un rangement sérieux des papiers de famille que j'ai récupérés. Ils proviennent de mon père qui gardait tout. Je suis entrain de réaliser un classemnt chronologique pour lui - d'une mèche de cheveux à trois ans à la retraite en passant par ses études, la guerre avec les fameux "Chantiers de Jeunesse" dont il parlait sans cesse [L'aventure de sa vie !], sa carrière, etc... Peut-être un rangement définitif ? Après moi plus personne ne pourra être intéressé par ces papiers. C'est une certitude. Moi je prends plaisir à voyager ainsi dans le temps et l'histoire. Sinon j'ai des classeurs plein de lettres de son frère, ses parents, son cousin. Sans parler des lettres échangées avec ma mère... J'ai déjà un classeur de belles lettres de famille où l'Histoire se mêle à la petite histoire - genre exode, naissance, décès...
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Lundi 25 janvier - Arte.tv diffuse un film de Josef von Sternberg "Fièvre sur Anatahan" (1952). Curieux film réalisé au Japon. Ce sera son avant dernier film. Scénario des plus simple une dizaine de soldats japonais pendant la dernière guerre se retrouvent naufragés sur un îlot isolé au milieu du Pacifique. Seul le gardien de la plantation et sa compagne – la jolie Keiko – y vivent. Les années passent et personne ne croît à la défaite du Japon Impérial. Keiko deviendra source de conflit entre ces hommes... Les rescapé finiront par rentrer au Japon en 1951. Film très beau, en noir et blanc photographié par Sternberg lui-même. Une bande-son, originale et très belle, avec une voix off racontant ce qui se passe alors que les hommes parlent japonais (sous-titré mais pas textuellement je pense).
Dimanche 24 janvier - On consacre encore une aprè-midi "aux soldes"... Et là je trouve, après quelques essais infructueux, un beau pardessus [beau voulant dire qui me va et me plaît], dans lequel je me sens bien, chez Agnès b. - de belle qualité et pas beaucoup plus cher que les Sandro, Ikks et autres. Content d'avoir trouvé ce que je cherchais, j'en avais assez des doudounes et autres survestes... Une jeune vendeuse ne savait pas ce qu'était un pardessus ! Je suis "confortable" comme aurait dit mon grand-père... Peut être même qu'il le prononçait à l'anglaise ?
Samedi 23 janvier - Un temps exécrable. De la pluie. De la fraîcheur. Je reste dans "mon quartier"... Encore une fois en cette période où tous les lieux accueillant du public sont fermés.
Vendredi 22 janvier - Devant passer prendre un bip de parking au début de la rue Oudinot (7e) j'en profite pour faire le tour du quartier. Je descends à Sèvres-Babylone pour prendre la rue de Babylone puis sur la gauche la rue Vanneau et revenir par la rue de Sèvres. Un triangle qui me transporte dans un autre monde. Celui des congrégations religieuses - ou du moins ce qui l'en reste - des jardins des ministères, de hauts murs - entourant par exemple le jardin Catherine Labouré-, d'immeubles haussmanniens imposants, des boutiques de luxe autour du "Bon Marché". Que du beau ! La chapelle de la Mission Etrangère, les hauts arbres de Matignon, etc... Rue de Sèvres j'entre dans la Chapelle Saint Vincent-de-Paul pour m'incliner devant la châsse de Monsieur Vincent. Somptueuse ! La beauté du lieu est saisissante. Avant de reprendre le métro j'entre au Bon Marché pour voir l'installation de Prune Nourry - j'en reparlerai. Deux heures dans un autre
Jeudi 21 janvier - Le 21 janvier 1793 Louis XVI fut guillotinné Place de la Révolution, rebaptisée Place de la Concorde. Il y a donc 228 ans. Qui commémore encore cette mort ? Pas grand monde sans doute... Pourtant on aime en France les commémorations... Me revient l'expression, souvent entendue, "penser à la mort de Louis XVI" . A quoi penses-tu ? à la mort de Louis XVI... Le synonyme trouvé sur Internet "triste, déprimé" ne me convient pas vraiment, je crois que c'est plus fort...
Mercredi 20 janvier - Début des soldes d'hiver. Après le ménage matinal on fait un grand tour au BHV-Hommes voir les manteaux, sans vraiment trouver notre bonheur. Je suis difficile. Et puis c'est plutôt le hasard, la chance qui créera l'achat. Deux fois par an je "fais les soldes" pour me tenir au courant de la mode qui est pour moi un art applqué auquel je suis sensible. [Malgré les vieux vêtements que je porte le plus souvent... mais ça c'est une autre histoire...]
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Mardi 19 janvier - Hier soir on nous annonce la mort de l'acteur Jean-Pierre Bacri . Nouvelle qui m'a attristé, il a joué dans tant de films - souvent des comédies de qualité, sans vulgarité. Son talent a même sauvé des films plus faibles. Un jeu associé à un phrasé unique - il fallait tendre l'oreille... On se sentait bien à le voir et l'entendre. Il était aussi scénariste. Beaucoup d'hommages insistent sur son caractère "très français bougon", c'est vrai mais je préfère parler de son humanité. J'irai même jusqu'à le considérer comme un humaniste. Y-aura-t-il encore des "Humanistes" dans quelques années au rythme où nos société se dégradent...? Il me manquera même si ses films restent...
Lundi 18 janvier - Enfin une belle après-midi de tarot à la maison après quelques difficultés d'organisation. Réunir quatre joueurs n'était pas si facile. On a joué jusqu'à 17h30 - couvre-feu oblige... Une petite pause pour une part de galette apportée par Jean et quelques chocolats apportés par Madeleine et boire un verre de jus de pomme. Tout le monde était content on remettra ça...
Dimanche 17 janvier - Une émission de radio où Dominique Fabre vient présenter son dernier livre me donne envie de le lire. J'ai trouvé "Des nuages et des tours" recueil de ses chroniques au magazine littéraire "Matricule des Anges" retravaillées sur les conseils de son éditeur pour en faire un livre. Chroniques de son quartier populaire du 13ème - le rue du Château des rentiers et de la Porte d'Ivry - de son travail de prof. d'anglais - je pense au collège de la rue de Reuilly - de ses allers-retours en PC. Il aime, visiblement, ce Paris peuplé de gens modestes et simples. Comme ces vieilles chinoises vendant des légumes devant les magasins des frères Tang ou ce voisin dont la vue baisse en raison de la cataracte. "Des nuages et des tours" , les tours se sont les tours (30 étages) que les français n'ont pas voulu habiter, occupées par les asiatiques formant le quartier de Chinatown, les nuages pour le regard plein d'empathie et de po
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Samedi 16 janvier - Je parlais , il y a quelques jours, plus exactement le 21 décembre avec l'arrivée de l'hiver, de nos hivers sans chute de neige. Et bien aujourd'hui, voilà un bon démenti, "y-a-de-la-neige !" comme on disait il y a bien longtemps... Malheureusement elle ne tiendra pas bien longtemps... Evidemment j'ai pris des photos qui formeront un dossier "2021.01.16 - De ma fenêtre (La neige)" qui rejoindra les nombreux dossiers documentant tout ce qui se passe dans la rue (balcon nord) ou le jardin (balcon sud) comme le montre la photo ci-contre.
Vendredi 15 janvier - Chronique du Covid - Il y a eu le confinement strict, le déconfinement progressif, le confinement modéré, le couvre-feu généralisé, le couvre-feu territorialisé, et à partir de demain un couvre-feu à compter de 18 heures pour toute la France. Que vont inventer nos énarques si loin du peuple et des français ? Quand cela aura-t-il une fin ? La Démocratie reste dans notre pays plus fragile que jamais...
Jeudi 14 janvier - Le temps qui passe - Choc ce matin quand je vois les premières "Maltaises de Tunisie" chez deux marchands... 14 janvier! Déjà. [L'année dernière il me semble que la saison a démarré un peu plus tard.] Un an de passé ! Le temps m'échappe. Dimanche je vais en acheter deux kilos pour nous faire un bon jus frais tous les matins jusqu'à la fin de saison (au moins mai). Je ne mange jamais d'orange de table mais la Maltaise, c'est La Maltaise on ne peut pas se tromper...
Mercredi 13 janvier - Je viens de terminer l'album de photos me concernant. J'y ai passé beaucoup de temps. Le titre de cet album pourrait être "Ma vie du 19 janvier 1949 à Piriac-sur-Mer août 2017" . Il ouvre sur une photo, faite par un professionel, d'un beau bébé nu, allongé sur le ventre, souriant à 6 mois - tradition bourgeoise que l'on perpétuait de génération en génération [ Je l'ai fait avec mes propres enfants]. La dernière, pleine page aussi est un portrait en gros plan carré 10cm x10cm en couleur avec en arrière plan une mer bleu-vert et un ciel nuageux bleu à Piriac-sur-Mer en août 2017 où l'on se promenait dans ce beau village avec des amis. C'est cette photo, que j'aime, qui marque un point final à ma vie en photo. Je suis assez content du résultat.
Lundi 11 janvier - Chronique du Covid-19 - Il ya un an, le 11 janvier 2020, la Chine annonçait le premier mort officiel du coronavirus - appelé par les méchantes langues "le virus chinois"... Un an déjà. Nos démocraties occidentales ne pouvant pas employer les méthodes autoritaires "à la chinoise" sont empêtrées dans cette pandémie alors que la Chine a réussi à la maîtriser. Maintenant le virus ayant muté on parle d'un "variant anglais" très contagieux et même sud-africain - peut-être d'un variant japonais détecté chez des japonais de retour du Brésil... Cela semble sans fin. A moins que le vaccin...
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Dimanche 10 janvier - Ce matin des colleuses du collectif "Collages Féminicides Paris" se sont données rendez-vous au bout de la rue Bouvier pour protester contre l'impunité de ces crimes. Une vingtaine de jeunes femmes vont coller, coller pendant tout le temps où nous faisons notre marché ! Elles ont réalisé un grand mur du souvenir avec les prénoms des femmes assassinées par leur mari-compagnon. Quelques fleurs collées. Des bougies le long du mur. C'est la deuxième fois qu'elles viennet en ce lieu peu fréquenté. Dans deux ou trois jours la Mairie aura tout décoller...
Samedi 9 janvier - Liberté, Égalité, Fraternité - La manifestation qui devait avoir lieu aujourd'hui à Toulouse pour demander "la démission de Macron" a été interdite par le préfet... Liberté, Égalité, Fraternité...
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Vendredi 8 décembre - "Bouquet of Tulips" de Jeff Koons (suite). Tout le livre de Yves Michaud " Ceci n'est pas une tulipe" serait à citer. L'enlaidissement des villes et de Paris en particulier je le vois de jour en jour s'accélérer. Je n'y reviens pas. Par contre Yves Michaud explique très bien et clairement "Ceci n'est pas une tulipe" - référence à la pipe de Magritte. Alors en effet il montre qu'il s'agit d'anus, oui ! de "trous du cul" [dixit Yves Michaud]. Il faut regarder avec attention et connaître les obsessions sexuelles de Koons. Le 1er janvier une longue promenade des Champs-Elysées à l'Opéra - toute la partie de la Ville transformée en parc d'attraction pour touristes selon les voeux de la Maire - nous avait fait passer devant l'objet de ce livre, que je ne connaissais pas à l'époque. J'ai pris quelques photos comme un vulgaire touriste - oeuvre qui devait participer au développeme
Jeudi 7 septembre - En une centaine de pages Yves Michaud , philosophe, critique d'art qui fut directeur des Beaux-Arts de Paris (1989-1997) raconte en détail l'histoire du "Bouquet of Tulips" "offert" par Jeff Koons à la Ville de Paris. Le titre de son livre "Ceci n'est pas une tulipe" sous-titré "Art, luxe et enlaidissement des villes" donne les clés de cette opération financière particulièrement opaque... Des pages terribles sur la cupidité, la complaisance, l'entre-soi - l'ambassadrice américaine de l'époque, la maire de Paris et son adjoint de l'époque Christophe Girard, un ancien de Yves Saint-Laurent et LVMH, qui a du démissionner pour des accusations de prévarication et pédophilie, l'artiste lui-même, le riche François Pinault qui a obtenu ainsi la Bourse du Commerce, rachetée par la ville, pour présenter ses collections, un ancien ministre de la culture ayant exposé Koons à Versailles lors de son passag
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Mercredi 6 janvier - De ma fenêtre. J'aime mon balcon Nord qui donne sur un rue déserte à certains moments ou très animée à d'autres. Je note et photographie ce que j'y vois. Les collègiens, les allées et venues chez DPA (Dominique Perrault Architecte - le célèbre architecte possède un immense bâtiment qui lui sert d'atelier et d'appartement avec terrasse.), les étudiants des écoles privées en rez-de-chaussée de l'immeuble). Aujourd'hui c'est un ouvrier qui démonte un échafaudage d'un immeuble dont on n'aperçoit que les cheminées qui semblent neuves...
Mardi 5 janvier - Je viens de finir "Une connaissance inutile" de Charlotte Delbo tome II de sa trilogie "Auschwitz et après". J'aurai lu ainsi ses quatre livres sur le sujet. J'en ai déjà parlé. Elle fut arrétée pour ses activités de résistante et déportée avec 230 autres femmes à Auschwitz-Birkenau. En avril 1945 l'Allemagne prise en étau entre les troupes américaines et russes a décidé de transférer les déportées vivantes et "présentables" à Ravensbrück. Non juive, ayant survécu aux sévices, aux coups, aux privations de toutes sortes elle sera ainsi du voyage jusqu'en Suède où la Croix-Rouge l'a prendra en charge. Elle raconte le passage devant les médecins SS avant le transfert avec la peur de ne pas être prise, puis à Ravensbrück les derniers appels interminables, les ordres, les contre-ordres, la désorganisation, les SS ne les battant plus, la dernière nuit, le départ au matin du 23 avril 1945.
Lundi 4 janvier - La France va mal. Et même très mal. Ma première idée était de faire une chronique du Covid-19. Un peu de recul me fait changer de titre. Comme je le pensais la vaccination contre le Covid-19 en France tourne à la farce générale. Il n'y pas d'autre mot. Un Président isolé qui veut décider de tout et de rien. Dernière invention "le Comité Citoyen" - 35 citoyens représentatifs - le pauvre il ne sait pas qu'un échantillon de 35 ne peut pas être représentatif - tirés au sort pour suivre la transparence des opérations de vaccination ! Il y a eu le grand débat national, la Convention National pour le climat, le Grenelle de la Santé, le Beauvau de la Sécurité arrive ! Il n'a rien fait pour l'affaire Benalla ! Quel quinquennat ! Les nervis de la Police vont avoir du travail...
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Dimanche 3 janvier - MK2 propose, en ligne, gratuitement un ensemble de trois courts métrages, très bien restaurés, de Charlie Chaplin de ses années producteur à la "First National". Une merveille. Les gags s'enchaînent avec poésie et légèreté. Des trouvailles incroyables. Dans "Une vie de chien (1918)" on retrouve le Charlot vagabond des terrains vagues - il recueille ainsi un chien errant - à la silhouette inoubliable. L'entraide entre ce chien et ce vagabond est très belle. Une fin heureuse. Dans "Charlot et le masque de fer (1921)" on retrouve notre vagabond qui ressemble comme une goutte d'eau à un riche mari négligeant avec son épouse. Un bal déguisé fera se retrouver Charlot vagabond et ce mari. Les quiproquos se suivront. Et enfin dans "Une journée de plaisir (1919)" Charlot, père de famille, en vacances à la mer, part en excursion en mer. Le mal de mer gagne... J'ai souvent ri de bon coeur!
Samedi 2 janvier - Ça y est on est en 2021 ! Et rien de bien neuf... Je m'en doutais.
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Vendredi 1 janvier - Jour de l'An ! Selon la tradition je souhaite une bonne et heureuse année à tous mes lecteurs, lectrices, imaginaires ou non. Je ne parlerai pas de l'épidémie mondiale de Covid-19. En effet qu'en dire ? Va-t-on pouvoir rire de bon coeur à nouveau en cette année 2021 ? Va-t-on pouvoir retourner au cinéma, au concert, au cirque, jouer aux cartes, etc ? Va-t-on pouvoir retourner au musée, voir une exposition ? Va-t-on pouvoir se retrouver en famille, entre amis ? On nous a déjà prévenu que le début de 2021 ne verra pas de changement immédiatement...