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Affichage des articles du mars, 2021
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Mercredi 31 mars - Grand soleil, encore des records de chaleur battus. On en profite pour aller jusqu'au Parc Floral. Surpris par les nombreuses familles juives venues avec les enfants - c'est mercredi après-midi et la semaine de Pessa'h. On est content de se retrouver. On se promène avec toute sa petite famille en rosalie - ces vélos à 4 ou 6 places - qui sont déjà là pour la saison. On a rarement vu autant de monde à cette époque de l'année. C'est bien. J'ai pris quelques photos de mes amis les arbres...
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Mardi 30 mars - Je n'irai pas voir les "chats" de Geluck - 20 statues géantes (2,7 m 2,5 tonnes) exposées aux Champs-Élysées. C'est très laid, c'est lourd comme aurait dit Céline... Du goût de la Mairie qui n'en a pas ! Pauvre Champs-Élysées... Une honte. Et comme aurait dit mon grand-père je préfère les jolies jambes de la danseuse chinoise de tango...[cf dimanche 28 mars.] Je me souviens de ce genre de commentaires qu'il écrivait sur des publicités de "La Vie Catholique" quand par exemple il voyait une jolie blonde qui portait la boîte à excréments (la poubelle dans sa belle langue fleurie, imagée, riche...) alors que quelques pages plus loin une brune, qu'il jugeait moche, souriait béatement pour faire la publicité de je ne sais quoi. Elle avait droit à un commentaire des plus cinglants... J'ai évidemment conservé ces écrits que je retrouve toujours avec plaisir.
Lundi 29 mars - Entre deux romans de René Frégni - l'excellent "Les vivants au prix des morts" et "La fiancée des corbeaux" de même facture que le précédent mais sans le côté thriller maintenant le lecteur en alerte qui me déçoit, que je vais finir rapidement - lecture de quelques chroniques de Philippe Muray "Parfait désaccord". Le titre de ce recueil Tel Quel/ Gallimard est explicite. Muray vitupère avec clairvoyance et sa lucidité habituelle contre le monde absurde dans lequel on nous entraîne. C'était il y a vingt ans, la réalité d'aujourd'hui est pire...
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Dimanche 28 mars - Tango-sur-Seine. Les danseurs réinvestissent les bords de Seine après ce long hiver. La jolie chinoise est là... Toujours aussi belle... Tout étant fermé et triste, il y avait un monde fou. C'est maintenant la grande promenade du dimanche après-midi. Tous les bords de Seine sont les rares endroits animés. Une Seine calme, sans bateaux-mouches, coulant assez vite. Sereine comme on le voit depuis ce saule, magnifique, imposant. Je laisse mon vélo là et je peux m'asseoir, en temps ordinaire, sur le rebord. J'aime ce lieu et je passerai à l'occasion le dimanche en fin d'après-midi - comme je l'ai fait souvent par le passé. Je ne m'en lasse pas.
Samedi 27 mars - Fête de Pessa'h - Ce soir après le Shabbat ce sera le premier Seder - un repas cérémonial avec une belle table, bien sûr, qui comprend la lecture de textes, la consommation de vin, des histoires, la consommation d’aliments spéciaux et des chants. Au préalable il faut faire le grand nettoyage de la maison - tradition semblable pour le Nouvel An Chinois. Fête marquant la libération du peuple juif esclave en Egypte. Ce sont les 10 plaies qui s'abbattent sur le peuple égyptien alors que les juifs sont épargnés. Dieu permit à Moïse d'ouvrir la mer séparant l'Egypte du Sinaï de manière à ce que le peuple Juif rejoigne la Terre d'Israël. Une belle histoire. Pessa'h se terminera dimanche 4 avril au soir.
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Vendredi 26 mars - Toute la semaine les médias acquis au pouvoir ont parlé du procès du "saccage de l'Arc de Triomphe". Ainsi une dizaine de gilets jaunes seront encore condamnés à différentes peines. Cela me révolte. Car de saccage il n'y en eut point. Ce samedi 1er décembre 2018 ce fut une belle manifestation du Peuple Français contre un pouvoir détesté. Un pouvoir dépassé avec à la tête de la police un ministre de l'Intérieur parfaitement incompétent. Une police débordée, mal commandée, violente. C'est ce que l'Histoire retiendra. Quant à l'Arc de Triomphe il est toujours dressé fièrement en haut de l'avenue des Champs-Élysées... Il y a quelques mois j'ai eu le plaisir de participer au "ravivage de la flamme". Les photos de ce jour sont magnifiques. Elles resteront dans l'Histoire n'en déplaise aux journalistes aux ordres...
Jeudi 25 mars - Beau et bon - Pour le Beau [au sens du XVIIIe]c'est la visite de l'église Saint-Paul Saint-Louis rue Saint-Antoine. Pour le bon c'est un bel article du Monde qui m'a poussé à essayer en revenant les gâteaux orientaux de Diamande au 4 rue Sedaine. Petits gâteaux ( 1,30 à 1,50 €) genre petits fours. Très fins cherchant l'alliance de différentes saveurs – pas le miel dégoulinant habituel. On en a pris trois chacun que l'on a dégusté sur un banc Napoléon III [il en reste encore malgré la hargne d'Hidalgo à les enlever] du boulevard Richard Lenoir. Très bien et un service sympathique. http://www.diamande.fr/
Mercredi 24 mars - Lecture passionnante de "Les vivants au prix des morts" de René Frégni que je découvre. Cela débute comme un banal journal. En première page à la date du 1er janvier il écrit ; "J'ai envie d'inventer la vie des gens simples. Ceux que je vois passer sur la route. (...) j'invente leur vie." Le 3 janvier il écrit : "Tout le monde devrait s’amuser à jeter quelques mots, sans trop réfléchir ni avoir peur, sur la page blanche de chaque jour. (..)". C'est très beau. Récit écrit à la première personne. Retraité, vivant à Manosque près de la nature et du soleil avec une compagne institutrice qu'il aime.Il a animé par le passé.des ateliers d'écriture à la prison des Baumettes. Passé qui va le ratrapper, bien malgré lui, en aidant un dangereux détenu en cavale. Le récit devient haletant.
Mardi 23 mars - Je préfère m'intéreser à l'Histoire qu'à l'actualité bien navrante. Après le bac mon souhait était de faire des études d'histoire -géographie pour être professeur de lycée... [Je n'avais pas d'ambition, je souhaitais être professeeur...] Un père ingénieur, matheux en a décidé autrement. Pour lui seules les maths, la physique, les "sciences" pouvaient "nourrir son homme"... Après des études de Physique-Chimie, reçu au concours de professuer je devins professeur de Physique-Chimie. Je ne regrette rien. Ce métier m'a plu et je l'ai fait avec passion. Maintenant je me rattrape en lisant des biographies historiques, en lisnt des cartes, etc...
Lundi 22 mars - Je me souviens du 22 mars 1968 quand des étudiants de Nanterre ont défié le Pouvoir gaulliste en décidant une grève et créé le "Mouvement du 22 Mars" qui prendra de l'ampleur pour aboutir aux belles journées de Mai 68 - ce que l'on a appelé "Mai 68" comme on a dit avec le même euphémisme que pour la guerre d'Algérie où l'on parlait des "événements" d'Algérie... Hypocrisie de la bourgeoisie française que j'ai de plus en plus de mal à supporter...
Dimanche 21 mars - "Le confinement en plein air" - magnifique invention de nos énarques - me permet d'aller jusqu'au Jardin Tino Rossi en bord de Seine. Les danseurs de tango sont là malgré la fraîcheur. Contents de se retrouver. Depuis si longtemps. Enfin le Paris que j'aime ...! Celui du Peuple qui n'a pas besoin des "élites" pour s'organiser, se distraire, faire ce qui lui chante!
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Samedi 20 mars - C'est le Printemps. Dans sa grande magnanimité le gouvernement nous annonce que le couvre-feu psse à 19 heures au lieu de 18 heures ! Bravo ! Sinon rien de bien nouveau plus d'un an après le début de cette épidémie. C'est le grand retour de l'absurdie (dixit la presse allemande) avec une nouvelle invention de génie : le confinement dehors ! Macron, avec sa tête de premier communiant, continue à faire son malin. [Je me souviens que les anciens disaient aux plus jeunes "fais pas ton malin.] Dans un premeir temps pour illustrer l'arrivée du Printemps je voulais mettre le Doodle de Google - hideux comme il se doit... Je crois que ce tableau traditionnel chinois acheté à une artiste chinoise en résidence à la Cité des Arts dans le 4ème sera plus en accord avec l'arrivée du Printemps - événement d'importance en Chine comme ailleurs.
Vendredi 19 mars - Il y a 59 ans le cessez-le-feu était proclamé en Algérie en application des accords d'Évian. signés la veille. Je me souviens très bien de ce 19 mars 1962. Ce fut un soulagement général. C'est le souvenir le plus marquant qu'il me reste - j'avais 14 ans - "ce soulagement général" après tant de peur, de violence, d'angoisse réelle.
Jeudi 18 mars - Je n'ai pas attendu les commémorations officielles du 150ème anniversaire pour fêter la Commune comme il se doit... Plus d'une fois je suis allé avec les "Amis de la Commune" écouter Riton la Manivelle Place de la Commune de Paris dans le 13ème, Place de la Réunion (20ème) - haut-lieu de la Commune, à Ménilmontant. Seul le Peuple peut le faire. Cette année il n'y aura rien de tout cela mais la Maire de Paris, avec sa démagogie habituelle, va tenter une récupération écoeurante. Elle sera critiquée par une droite haineuse et "par son camp" pour son opportunisme. Je vais essayer de participer à quelques événements organisés par l'association "Amies et Amis de la Commune de Paris 1871" dont j'invite mes lecteurs à visiter le site : https://www.commune1871.org/
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Mercredi 17 mars - 150ème anniversaire de la Commune de Paris – Tout a commencé le 17 mars 1871 quand Adolphe Thiers et son gouvernement ont tenté de récupérer les canons de la milice civile parisienne, postés sur la butte Montmartre. L'émeute qui s'ensuit marquera le début de la Commune de Paris. Je préfère parler de la belle utopie de la Commune de Paris – brève et sans lendemain si ce n'est la terrible répression que l'on sait - que du reconfinement prochain que l'on annonce un an, jour pour jour, après celui du 17 mars 2020 ! Ci-contre une très belle photo des canons alignés sur la Butte.
Mardi 16 mars - Chronique du Covid-19 - Tout a commencé il y a un an quand le Président Macron a décrété le confinement strict... On ne savait rien à l'époque sur cette épidémie - on disait Coronavirus... Et je prends à mon compte ce que Annie Ernaux écrivait dans la collection Tracts-Gallimard N°29 du 2 avril 2020 titré "Monsieur le Président" : "Prenez garde, Monsieur le Président, aux effets de ce temps de confinement, de bouleversement du cours des choses. C’est un temps propice à la réflexion, aux interrogations, un temps pour imaginer un nouveau monde. Pas celui que vous n’aviez de cesse de vanter et dont on peut redouter, à certains signes, la reprise sans délai." Annie Ernaux - Une de nos grandes écrivaines, sans doute la plus grande vivante, dont j'apprécie la lucidité sur le monde tel qu'il va... mal très certainement.
Lundi 15 mars - Journée sans surprise consacrée au tarot (13h30-17h30 couvre-feu oblige) sans répit...
Dimanche 13 mars - Avec "Le piège" Emmanuel Bove dresse le portrait d'un homme mal à l'aise au début de l'occupation allemande. Souhaitant rejoindre de Gaulle à Londres il contacte un ancien ami travaillant au Ministère de l'Intérieur à VIchy pour obtenir un sauf-conduit. S'ensuit un terrible portrait de la collaboration et des collaborateurs grenouillant dans les couloirs des ministères. Un monde délètère où notre héros toujours indécis n'échappera pas à son mal-être - habituel chez Emmanuel Bove. "Le piège" se refermera inexorablement... Inspiré de sa propre vie il parviendrat à rejoindre Alger en 1942 où il écrira ses deux derniers romans dont celui-ci qu'il publiera à la Libération en 1945 avant de mourir en 1945 à l'âge de 47 ans. Ecrivain reconnu et apprécié avant guerre pour la qualité de son écriture, des phrases ciselées et les thémes développés, il ne fut réhabilité que dans les années 1970. Un écrivain rare que j'appr
Samedi 13 mars - Comment le temps passe-t-il ? Je ne sais trop... Lecture du Monde, de livres - je termine "Mémoire d'un fou" de Gustave Flaubert -,etc.. Sur Internet des vidéos, des films - comme par exemple ce documentaire de Arte sur l'Allemagne nazie et l'argent - etc-... Le fourbi, aller chercher le pain, etc... Rien de passionnant.
Vendredi 12 mars - - Le temps qu'il fait- Aller-retour jusqu'à la bibliothèque Parmentier entre deux giboulées de mars. Nous sortons de l'hiver. Les arbres décoratifs sont déjà en fleurs.
Jeudi 11 mars - "Des Invalides à Dammartin-en-Goële, Emmanuel Macron rend hommage aux victimes du terrorisme ce jeudi. [lefigaro.fr]" Trop... C'est trop. Vraiment trop cette complaisance dans les "commémorations" de tout et de rien. C' est insupportable... Pendant ce temps la pagaille vaccinale contre la Covid-19 continue... J'ai mal à mon pays ! Je crois qu'un Président à mieux à faire... C'est triste; il faut mieux ne pas trop penser....
Mercredi 10 mars - Le temps qui passe - Déjà Mittwoch ! On peut faire comme Wikipédia qui à chaque date commence son article de la manière suivante :"Le 10 mars est le 69e jour de l'année du calendrier grégorien, le 70e en cas d'année bissextile. Il reste 296 jours avant la fin de l'année. C'était généralement le 20e jour du mois de ventôse dans le calendrier républicain français officiellement dénommé jour du cordeau." puis dresse des listes des événements s'étant produits un 10 mars, les naissances et les décès des célébrités classés chronologiquement...
Mardi 9 mars - Chronique de la Covid-19. On discutait avec un voisin-ami de la situation dans laquelle on se trouve et de la formidable capacité d'adaptation de l'Homme. C'est vrai. Maintenant je me demande comment chacun de nous va "retomber sur ses pattes"... On est habitué à cette situation de privation. Que va-t-il se passer quand on devra revivre par soi-même ?
Lundi 8 mars - Belle après-midi de tarot. On oublie les "restrictions" comme disent nos dirigeants... Jeu qui me permet d'oublier les petits soucis du quotidien.
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Dimanche 7 mars - Grande promenade jusque chez "Raimo" boulevard de Reuilly du côté de la Place Daumesnil (12e). Une bonne glace - même si ce n'est plus le vieux Raimo, un sacré personnage venu d'Italie... Installé depuis 1947 il finira par vendre l'affaire en 2008. Les glaces restent bonnes. J'y suis allé plus d'une fois... en famille, seul, maintenant avec Jing. Retour dans le 11e par l'avenue Daumesnil et Faidherbe-Chaligny. Content d'avoir fait ce grand tour.
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Samedi 6 mars - Hier je parlais d'une belle gueule... Voilà ce que c'est. Erri de Luca contemplant la baie de Naples. On voit la bonté sur ce visage au regard profond et franc. Il parle - en italien ou en français - de sa ville natale avec des paroles qui viennent du fond du coeur. Des mots qui vibrent. J'aime tellement ce genre d'humaniste que je ne supporte plus tous ces petits politicards - Macron étant le modèle à égaler - tous formatés à l'identique, bien propres sur eux, parlant une langue sans âme et sans accent apprise à l'ENA. C'est triste. [ Par ailleurs ce sont eux qui nous font mourir] Voilà une humeur du jour bien sentie...et qui me tenait à coeur depuis longtemps.
Vendredi 5 mars - Hier je parlais de chienlit. C'est vrai. Il faut chercher à s'en échapper et bien ce soir avec le film-documentaire "A mi-mots" réalisé par Robert Bober sur Erri de Luca c'est du grand bonheur. 26 minutes (grâce encore à MK2) ! Deux humanistes d'exception que je connaissais. Un mot sur chacun. Robert Bober - juif polonais 89 ans réfugié à Belleville - a commencé comme tailleur comme tant d'autres, pour finir documentariste. J'ai assisté il y a quelques années à la présentation de son film "En remontant la rue Vilin" où son grand ami disparu Georges Perec est né... Erri de Luca est né à Naples il y a 70 ans où il a passé son enfance et sa jeunesse dans la quartier de Montedidio - qui signifie, en napolitain, la Montagne de Dieu - une force de la nature, ayant exercé cent métiers, ayant participé aux luttes de l'extrême-gauche italienne, alpiniste de talent, etc... Vivant maintenant de son écriture - merveilleuse - dan
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Jeudi 4 mars - Chronique du Covid- Le dessin de Plantu en première page du Monde décrit bien la chienlit actuelle... Je dois dire que je ne suis pas fan des dessins de Plantu mais pour cette épidémie il a bien mis "l'esprit français" en évidence. La foire aux vaccins en est un bon révélateur. Pagaille étatique - du jour au lendemain un vaccin jugé inefficace devient recommandable. Foire d'empoigne où chacun donne son avis. La comparaison avec nos voisins européens me fait soufrir pour mon pays... Cela avait commencé il y a un an avec le stock stratégique de masques ( plus de un milliard !) qui avait disparu malgré les recherches...
Mercredi 3 mars - Eric Anceau - historien spécialiste du Second Empire - termine son livre sur les 25 peronnalités ayant fait et défait le Second Empire par le Prince Impérial. Il a visiblement de l'empathie pour ce jeune homme choyé par son père et sa mère l'Impératrice Eugénie. Napoléon IV pour les Bonapartistes mais "Napoléon III et demi" pour les républicains et royalistes il fut malgré tout aimé du peuple Français.Son destin tragique - sauvagement tué par les Zoulous à l'autre bout du monde alors qu'il était volontaire pour honorer le pays où la famille s'était exilée - et le portrait dressé par Eric Anceau nous le rend attachant.
Mardi 2 mars - De la Démocratie "à la Française". Que Sarkozy alias Paul Bismuth soit condamné à trois ans de prison dont un an ferme , tout ancien président qu'il est, ne peut que me réjouir comme tous ceux qui croient à la Justice. Enfin un puissant condamné pour fait de corruption. Depuis hier la classe médiatico-politique pousse des cris d'orfraie. Tous les médias s'indignent. Pas une voix discordante pour se réjouir que "la justice passe"... C'est écoeurant pour le citoyen de ce pays. En Suède, même en Allemagne certains ministres ont du démissionner pour une barre chocolatée ou un péage d'autoroute payée sur des fonds publics... J'en rêve.
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Lundi 1 mars - Déjà Mars ! Commençons le mois par la photo commentée traditionnelle. La planche de ma bibliothèque, derrière moi, remplie de bibelots auxquels je tiens comme la boîte Russe, évidemment, un oeuf de bagnard, des objets chinois et surtout des photos de famille ou d'amis lors de pette fête. Le tout sous le regard protecteur des poètes André Chenier, Jean de la Fontaine et de Mgr Affre Archevêque de Paris blessé mortellement sur les barricades à l'entrée du Faubourg Saint-Antoine le 25 juin 1848. Ses dernières paroles furent : "Le bon pasteur donne sa vie pour ses brebis, que mon sang soit le dernier versé". Il était venu s'interposer entre les combattants lors des insurrections de juin 1848... Il pensait ramener la Paix...