Jeudi 4 février - La célèbre Galerie Jeanne Bucher Jaeger de la rue de Seine a acquis au 5 rue de Saintonge dans ce quartier dédié de plus en plus aux galeries un local magnifiquement aménagé. C'est Jeanne Bucher qui a découvert Mark Tobey (1890-1976). Elle deviendra sa représentante en Europe. Après la première exposition de 1955 qui le fera connaître, elle présente une rétrospective d'une quarantaine d’œuvres. Un article du Monde et un souvenir de cartes des "Nouvelles Images" qui font partie de mon musée imaginaire (ensemble de cartes) m'invitent à y aller.
La série des "Sumis"- 1957(encre de chine japonais) m'a rappelé le travail de Michaux-Zao Wu-Ki et se rapproche du Tobey que j'avais en tête.
Laissons parler Mark Tobey dans une lettre du 1 février 1955 : " Sur les pavés des rues et sur les écorces des arbres, j’ai découvert des univers entiers. Je suis très peu au fait de ce que l’on appelle généralement "abstrait". L’abstraction pure serait pour moi une peinture dans laquelle on ne trouverait aucune affinité avec la vie, une chose pour moi impossible. J’ai cherché un monde "un" dans mes peintures mais pour le réaliser j’ai utilisé comme une masse tourbillonnante. Etc..."
La série des "Sumis"- 1957(encre de chine japonais) m'a rappelé le travail de Michaux-Zao Wu-Ki et se rapproche du Tobey que j'avais en tête.
Laissons parler Mark Tobey dans une lettre du 1 février 1955 : " Sur les pavés des rues et sur les écorces des arbres, j’ai découvert des univers entiers. Je suis très peu au fait de ce que l’on appelle généralement "abstrait". L’abstraction pure serait pour moi une peinture dans laquelle on ne trouverait aucune affinité avec la vie, une chose pour moi impossible. J’ai cherché un monde "un" dans mes peintures mais pour le réaliser j’ai utilisé comme une masse tourbillonnante. Etc..."
Commentaires
Enregistrer un commentaire