Mercredi 24 novembre - Les frères Pichon créèrent en 1835 une fonderie dite du "Chemin-Vert" qui travailla pour le chemin de fer et la Marine de Guerre. On est en pleine Révolution Industrielle. Les générations se succèdent jusqu'en 1929. La crise de 1929 et l'évolution des techniques (soudure, matières plastiques) eurent raison de l'entreprise vendue à une nouvelle famille en 1935 qui occupa les locaux jusqu'en 2000 en utilisant ces vastes locaux dans une activité de machines-outils. Un entrepreneur transforma cette usine désaffectée en "centre d'art numérique". La vaste halle se transforme en "Atelier des Lumières" au 38 rue Saint Maur en plein 11ème.
Ce petit texte résume, pratiquement deux siècles de l'histoire de notre pays. Et son évolution en un même lieu en passant de l'industrie lourde en plein coeur de Paris à un centre d'art numérique - des ouvriers métallurgistes aux "bobos"...!
[Photo montrant Edouard Pichon dans sa Fonderie du Chemin-Vert]
Invité par Le Monde nous avons découvert ce lieu pour "Dali L'énigme sans fin". Il s'agit d'une découverte de l'oeuvre de l'artiste par immersion à l'aide de milliers d'images projetées, le plus souvent en mouvement accompagnées de musique. Nous avons pris beaucoup de photos - ce n'et pas toujours facile. Celle choisie montre bien l'ambiance propre à Salvator Dali, des compositions - couleur et formes caractéristiques - et la structure de cette vaste halle bien restaurée. Le réservoir et les piscines nécessaires au refroidissement, conservés, sont bien mis en valeur. L'oeil cher à Dali projeté au fond de ces piscines... C'est un spectacle facile et pour tout dire jamais je n'aurais payé pour assister à ce spectacle. Et dans le cas présent j'ai été très déçu par la musique accompagnant mal Salvador Dali. Heureusement nous avons eu droit à une coupe de champagne Roederer offerte par Le Monde !
[Photo montrant Edouard Pichon dans sa Fonderie du Chemin-Vert]
Invité par Le Monde nous avons découvert ce lieu pour "Dali L'énigme sans fin". Il s'agit d'une découverte de l'oeuvre de l'artiste par immersion à l'aide de milliers d'images projetées, le plus souvent en mouvement accompagnées de musique. Nous avons pris beaucoup de photos - ce n'et pas toujours facile. Celle choisie montre bien l'ambiance propre à Salvator Dali, des compositions - couleur et formes caractéristiques - et la structure de cette vaste halle bien restaurée. Le réservoir et les piscines nécessaires au refroidissement, conservés, sont bien mis en valeur. L'oeil cher à Dali projeté au fond de ces piscines... C'est un spectacle facile et pour tout dire jamais je n'aurais payé pour assister à ce spectacle. Et dans le cas présent j'ai été très déçu par la musique accompagnant mal Salvador Dali. Heureusement nous avons eu droit à une coupe de champagne Roederer offerte par Le Monde !
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