Lundi 25 juillet - Dans l'épilogue à son livre [dimanche 24 juillet] Franz-Olivier Giesbert pousse un cri d'amour à la France même si "jusqu'à présent la pente du déclin était douce" elle se trouve "maintenant sur un toboggan". Depuis quarante ans notre PIB augmente moins vite que celui des pays développés de l'OCDE ( -0,4% l'an).Il en rend responsable tous les présidents depuis Mitterrand. La situation ne s'arrange pas...Par petites piques de-ci de-là l'auteur ne ménage pas, non plus, Macron.... Certainement le pire de tous.....

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