Vendredi 17 mars - Hier soir ce président – je ne sais comment le nommer - peureux (cf mon post d'il y a deux jours) – je crois que c'est un trait de caractère de cet usurpateur - a renoncé à mettre au vote SA réforme des retraites. Il choisit la brutalité comme toujours. Il va tenter de la faire passer par un dispositif antidémocratique. Aussitôt des milliers de personnes, dont beaucoup de jeunes, se réunissent spontanément face à l'Assemblée Nationale sur la Place de la Concorde. Mais la police politique, bien tenue par un ministre aux ordres, veille. Matraquage, gazage, arrestations disperseront bien vite la foule – bien que décidée à ne pas se laisser faire..... La violence de ce régime, qui n'a que mépris pour le peuple, est en marche....

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