Vendredi 12 juillet - Je lis avec plaisir le dernier Régis Debray "Où de vivants piliers" (2023). Ce vieux grognard, comme je dis, passe en revue ce qu'il appelle ses maîtres en deux trois pages et dans l'ordre alphabétique. Cela va d'Aragon à Yourcenar mais aussi par des êtres inanimés (bibliothèque, livres, maisons, ). Il a la dent dure sur notre époque et ses travers et le "globish" qu'il déteste. Un fier défenseur du français. J'aime son humour grinçant. Son chapitre Frances (au pluriel) commençant par: "Elle a finalemnt rendu l'âme …. "est cruel. Cruauté pour les dirigeants actuels faisant appel à des cabinets de conseil comme McKinsey pour diriger ce pays qui devient un vaste Disneyland...

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